Pour lutter contre le Pass sanitaire et vaccinal, une seule arme : MON VOTE
Monsieur le Président de la République Française,
Lors de son intervention le 17 décembre dernier, notre premier ministre, Monsieur Jean Castex a indiqué qu’un « Un projet de loi sera présenté au Conseil des ministres du 5 janvier prochain pour transformer le pass sanitaire en pass vaccinal » et que vous assumiez « de faire peser la contrainte sur les non-vaccinés ».
Monsieur Olivier Véran, lors d’un entretien avec le média Brut le 18 décembre précisait : "Le pass vaccinal est une forme déguisée d'obligation vaccinale".
Pourtant, dans une intervention du 24 novembre 2020, Monsieur Le Président, vous aviez été très explicite et aviez indiqué : « Je veux être clair, je ne rendrai pas la vaccination obligatoire », les décisions annoncées vendredi par vos ministres sont clairement en contradiction avec votre discours. Si la situation sanitaire exceptionnelle peut excuser quelques tergiversations dans les stratégies à tenir, rien ne peut justifier que des responsables politiques mentent à la population.
A la veille des fêtes de fin d’année, vous et votre gouvernement avez donc décidé de vous acharner sur des français qui n’ont enfreint aucune loi (la vaccination n’étant pas obligatoire) et d’attaquer les libertés d’une partie de la population avec une virulence jamais égalée. A échéance, nous serons d’ailleurs tous concernés, les non vaccinés, certes, mais aussi ceux qui refusent un vaccin tous les 3 mois comme le préconise la HAS, qui perdront leur pass et rejoindront le clan des exclus, n’ayant plus le droit de vivre en société et même peut être de travailler.
En signant la pétition associée à ce courrier, je m’engage donc à me rendre aux urnes et à voter pour un de vos adversaires, à vous ou au représentant de votre partie politique, au premier tour des prochaines échéances électorales et si vous ou un représentant de votre partie atteint un second tour, je voterai pour votre adversaire, quel que soit cet adversaire.
Vous souhaitez certainement être les « bons élèves » de l’Union Européenne qui s’apprête à imposer par la force la vaccination à TOUS ses habitants à un rythme d’un rappel vaccinal tous les 3 mois quand de nombreux pays, africains notamment, voient leur population, même fragile, privée d’une première dose.
Mais même si 100% des français de plus de 3 ans sont vaccinés, il y aura 100% de vaccinés dans les hôpitaux et 100% de vaccinés mourront. Accuserez-vous alors les 0-3 ans d’être les responsables ? Augmenterez-vous alors enfin les capacités d’accueil des centres hospitaliers, des services de réanimations ? Recrutons-nous alors du personnel en nombre pour suppléer les extraordinaires soignants qui se battent au quotidien pour sauver des vies dans des conditions indignes ? Utiliserons-nous comme au Royaume Uni ou aux États-Unis des traitements qui semblent être très efficaces contre les formes graves ?
De nombreuses voix respectables s’élèvent pourtant pour indiquer que la stratégie du tout vaccinale est inepte. Monsieur Ugur Sahin, PDG de BioNTech, affirme lui-même que « les triples vaccinés sont susceptibles de transmettre la maladie » (Le Monde, 20/12/2021). Le Docteur Gérald Kierzek, le docteur Blachier et bien d’autres n’ont-ils pas des avis tout aussi respectables que les médecins de plateaux soucieux de préserver leur temps de parole médiatique en entretenant la psychose et l’anxiété ?
La France, Pays des Lumières, ne doit pas se contenter de copier sur d’autres des solutions qui n’en sont pas mais orienter une stratégie diversifiée et novatrice nous permettant d’éradiquer ce virus tout en préservant nos valeurs. C’est pour cela que vous avez été élu !
Le taux de participation aux dernières élections était seulement de 34,69% au second tour des élections régionales en 2021. Il est donc nécessaire de remobiliser nos concitoyens pour qu’ils retrouvent le gout de la Démocratie. En effet, même si Monsieur Attal a indiqué que tout fera l’objet d’un débat parlementaire, nous voyons bien, avec les dernières lois votées dans ce contexte sanitaire, que le parlement n’est qu’une caisse enregistreuse de toutes les lois que vous proposez.
Si bien évidemment vous revenez sur cette folie et cessez cet acharnement, cet engagement deviendra caduc et en reprenant ma liberté de vivre, de travailler, je retrouverai ma liberté de voter.
Veuillez agréer, Monsieur le président de la République, l'expression de ma respectueuse considération.
